J’étais très heureuse d’intervenir au Conservatoire National des Arts et Métiers le 20 janvier dernier pour une journée de réflexion sur invisibilité et travail ! Le public était composé de psychologues, de sociologues, d’ergonomes, d’enseignants, d’étudiants, de DRH, de responsables de communication…

Pour donner de la visibilité au travail, susciter la curiosité et apporter un éclairage différent, il est parfois intéressant de ne pas le montrer. Pas directement et pas seulement.

Et si on commençait par un visage dessiné ?

Qu’il soit celui d’un éboueur ou d’un ingénieur, j’ai expliqué ma façon de proposer le portrait dessiné et raconté avec Visages d’en Faces comme outil de sensibilisation et de médiation, notamment quand il s’agit de mieux comprendre le travail de chacun et de retrouver du sens à ce qu’on fait.

« Les invisibles » ne sont pas seulement les métiers socialement dévalorisés, mal payés et trop peu reconnus, mais aussi tous ces angles morts, quels que soient les secteurs, qui nous empêchent de voir le travail que chacun réalise au quotidien. Ça n’est pas un problème en soi. Sauf quand se répètent trop souvent des incompréhensions, qui finissent par générer de la démotivation, distendre les liens et empêcher l’innovation…

Pendant cette journée passionnante, j’ai aussi ouvert grand mes oreilles pour ne pas perdre une miette des interventions de Sandro De Gasparo, Francois Hubault, Christian Monjou, Elisabeth Pélegrin-Genel, Anne Ulmann, Corinne Savart-Debergue, Delphine Colin, Guillaume Leblanc et Christine Depigny.

Un grand merci à Dominique Massoni, Elisabeth Pélegrin-Genel, Corinne Savart-Debergue, de l’Institut du Travail et du Management Durable (ITMD) et Anne Ulmann du laboratoire du Centre de Recherche sur le Travail et le Développement, pour cette belle collaboration !

Vous souhaitez en savoir plus sur l’approche Visages d’en faces ? Parlons-en : 06 66 86 52 37.

À bientôt !

Christine

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Visuel : composition à partir de photographies de Roxana Albu-Mercié