À propos
Une approche participative du portrait dessiné et raconté pour cultiver la curiosité et changer les regards dans les entreprises et les territoires
Objectifs
- Valoriser des métiers invisibilisés ou méconnus, redonner une vision globale de la chaîne d’intervenants sur un sujet
- Engager, renforcer les liens et fédérer autour de valeurs partagées
- Accompagner le changement (déménagement, réorganisation, intégration de nouvelles pratiques ou de nouveaux collaborateurs / voisins, orientation et transition professionnelle…)
Déclinée sous forme d’ateliers, d’expositions, de lectures à voix haute, cette approche facilite le dialogue et favorise l’engagement.
Il s’agit d’une médiation pour fédérer des acteurs autour d’un projet collectif qui valorise les individus. Mis en série, les portraits sont un acte fort de reconnaissance. A la fois personnels et collectifs, ils dévoilent la singularité des personnes et ce qui nous relie toutes et tous. Les regards, les histoires et leurs échos universels deviennent autant de leviers d’interaction.
Les ateliers

- Développer son attention
- Travailler ses soft skills
- Faire équipe
Moments de formation, les ateliers permettent de faire l’expérience de la richesse de l’intelligence collective.
Au travers d’exercices d’écoute et de regard actifs, les participants expriment leur créativité et apprennent ensemble à se révéler à eux-mêmes et aux autres.
Les expositions

Exposés et partagés, les portraits changent le regard que l’on porte sur ses voisins ou ses collaborateurs. En mettant en lumière la personne derrière la fonction, la singularité derrière la posture, ils humanisent les relations. Ils enrichissent les échanges en générant des conversations inédites et en créant de nouveaux liens.
Qu’elles soient organisées au sein de l’entreprise ou destinées au grand public, les expositions constituent une manière de communiquer autrement sur des acteurs, des métiers, des valeurs.
Les lectures à voix haute

Les expositions peuvent être complétées par des lectures à voix haute qui viennent donner vie aux portraits exposés.
Ces moments partagés renforcent le sentiment d’appartenance à un collectif, qu’il s’agisse d’habitants d’un même quartier ou de collaborateurs d’une même organisation.
L’idée, c’est aussi d’apporter une visibilité à certaines personnes qu’on ne voit pas ou que l’on croise sans avoir l’occasion de les connaître. »
Christine Boulanger / Le Parisien