Je suis une médiation. Je mets en avant les gens que je dessine et que je raconte. Christine Boulanger
Découvrez des exemples de portraits créés au fil des projets.
Filtres :
Je me suis dit que plus tard, je ferais ce métier pour donner ce qui m’a été donné ce jour-là.
C’était un métier que je n’avais pas envisagé, n’ayant jamais vu de femme noire journaliste.
Nous ne pouvons pas les laisser porter uniquement par nos collaboratrices, nos épouses, nos mères, nos filles.
Quand j'écoute trop de rap, au bout d'un moment, j'ai besoin d'écouter autre chose.
C'est en arrivant dans le civil que je me suis rendu compte que j'étais une femme.
Sa façon d'expliquer les choses donnait envie à mes enfants de passer du temps avec elle.
Regarde ce camélia, et ce néflier : eux aussi, j'ai réussi à les sauver.
Nous apprenons à partager le jardin avec les animaux.
Avec les enfants, c'est impossible de ne pas s'amuser !
Je me suis dit que côtoyer des personnes en situation de handicap m'aiderait à comprendre encore mieux le monde.
Même quand tu perds, si tu sais que tu es à 100 % dans ce que tu fais, tu peux être fier.
Ta voie, tu la trouves en te donnant la chance de vivre des expériences.
J'ai compris que tu peux tout perdre en dix secondes si tu n'as pas ce recul de desserrer le poing.
Être fort, c'est être capable de se faire aider.
J'ai dû envoyer mon CV une quarantaine de fois !
Tout se passe là, pendant le service. C'est d'ailleurs le moment que je préfère.
Si on partait en week-end, pas un ne restait derrière.
Les personnes âgées - comment dire... Ce sont des personnes vulnérables mais quand elles te racontent même leurs expériences les plus difficiles, elles savent y mettre de l'humour.
Moi ça me plaît de dire bonjour à quelqu'un. Je regarde la personne, et si elle me regarde, je la salue et certaines me répondent.
Avant, je savais dire seulement 'Bonjour Madame. Petite pièce, s'il vous plaît ?'
Il n’était sans doute pas le plus flamboyant de mes élèves, il en a bavé, je ne sais pas ce qu’il est devenu… Mais je garde de lui un souvenir particulièrement émouvant.
On commence par se dire bonjour, les chiens se disent bonjour ensemble et c'est comme ça qu'on arrive à se causer un petit peu.
Moi je sais pas lire, je sais pas écrire : c'est un handicap pour trouver du boulot.
Quand on fait des choses vraies, elles permettent de vraies rencontres.
Ils ont tous des enfants mais n'avaient jamais vu ça.
Après l'accident, je me suis juré que plus jamais je ne me laisserais parasiter par des trucs sans importance.
Tous les jours tu vas aborder quelqu'un, tous les jours tu vas parler. Donc bien parler, c'est vraiment important.
Avec lui c'était toujours le regard. Jamais une baffe, toujours des mots. Le respect.
Même une tasse avec les cuillères dans de l’eau pour qu’elles soient propres. Il avait pensé à tout !
J'avais trouvé un lien du côté de ma mère : j'étais venue la chercher et j'ai réalisé que je l'avais déjà en moi.
Pour moi, dire bonjour c'est sacré. Ma famille, c'est aussi les personnes que je rencontre.
La demande de travail est tellement forte ! Mais elle a pas lâché.
Avec les associations du quartier, je fais la mère Noël tous les ans depuis trente ans.
Je suis bénévole aussi dans un autre centre, je donne des cours d’informatique pour les débutants.
Il y avait des juifs, des musulmans, des chrétiens, tout le monde ! On se connaît tous.
J’ai été au chômage donc je voulais faire autre chose que de rester à la maison.
Paris
On était beaucoup quand on a fait l’ouverture de l’école, du dispensaire, de la pharmacie… Ça, c’est vraiment magnifique.
Moi, la première fois que je prends un bic pour écrire un papier, c’est ici en France.
Tu veux aller là-bas ? Ben je sais pas… Une blanche en Mauritanie ? Nan-nan mais tu… Toc-toc, là, hein !
Tout ce qui est féminin, laisse tomber !
L’idée, c’est une fille qui se discute avec un garçon.